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Heroines in Art, History & Fiction. Actresses
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Pablo Larraín: Building the character of Diana, we didn’t just want to create a replicated image of her but use cinema and its tools to create an internal world that striked the right balance between the mystery and fragility of her character
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Katherina Ivanovna, plus Dimitri Fiodorovitch Karamazov vous offensait, plus vous l'aimiez. Vous aimez en lui l'héroïsme de votre dévouement aux prises avec son infidélité
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Denise Tantucci, Tre piani (Nanni Moretti) : Le concept de métamorphose inachevée, comme si les personnages faisaient un long voyage pour découvrir qu'ils ne peuvent être qu'eux-mêmes... | Nietzsche : On finit par ne plus vivre que ce que l’on a en soi
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Pablo Larraín, Spencer, Kristen Stewart as Princess Diana: You need something very important in film, which is mystery. Kristen can be many things, and she can be very mysterious and very fragile and ultimately very strong as well
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Un cinéma des signes, des appels, des jalons. Inclinée sur le suicidaire, c'est la courbe dense d'une nuque de femme | Alain Badiou : Robert Bresson, Le Diable probablement | Tina Irissari, Laetitia Carcano
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Robert Bresson : Mon coeur va constamment vers ces garçons et ces filles qui s'interdisent une société fondée scandaleusement sur l'argent et le profit, sur la guerre et la peur
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Amanda Knox: As I walked back into the free world, I knew that my doppelgänger was there alongside me. Even most of the strangers who offered kindness and support didn’t truly see me. They loved her
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Olga Kurylenko : Terrence Malick me le disait en français : saute comme un lapin ! Il ne veut rien d'immobile. Les choses doivent se transformer en quelque chose d'autre, dans un mouvement constant de transformation, comme une danse
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Audrey Hepburn : Holly est tout le contraire de moi. Elle me fait peur. Ce rôle appelle un caractère extraverti. Or moi, je suis introvertie. C'est ce que j'ai fait de mieux, parce que c'est ce qu'il y a eu de plus dur
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Stacy Martin, Berlinale 2014, Nymphomaniac : Je n'ai pas eu peur de la sexualité. Le sexe est ce que nous sommes. Je faisais confiance à Lars von Trier
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Syberberg : Le Parsifal féminin (Karin Krick) prend en charge sa difficile mission. Il naît une douleur érotique plus grande | Pascal Bonitzer : une jeune fille merveilleuse dont la bouche laisse passer la voix du ténor. Vampirisation réciproque
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Pablo Larraín, Jackie: She was an incredibly mysterious person, and I think Natalie Portman has that in her eyes. That’s why I wanted so many close-ups
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Pablo Larraín: If there’s no perversion, there’s no beauty | Natalie Portman: A great director always has a little bit of perversion in the way that they see things. I don't mean in a sexual way. He always took us into unexpected directions
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Stacy Martin : J’ai beaucoup appris du comportement des Japonais, de l’efficacité de leur self-control. C’est ainsi qu’ils prennent le pouvoir sur leur interlocuteur. J’ai appris à écouter, à me taire, à observer pour mieux comprendre
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Gwenaëlle Simon, fille de corsaire | Eric Rohmer : Je prends les acteurs comme ils sont. Je préfère les gestes qui ne veulent rien dire, immédiats : c'est parce qu'ils ne veulent rien dire qu'ils disent davantage
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