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Heroines in Art, History & Fiction. Actresses
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new (30) | heroine.love
Pablo Larraín: Building the character of Diana, we didn’t just want to create a replicated image of her but use cinema and its tools to create an internal world that striked the right balance between the mystery and fragility of her character
Katherina Ivanovna, plus Dimitri Fiodorovitch Karamazov vous offensait, plus vous l'aimiez. Vous aimez en lui l'héroïsme de votre dévouement aux prises avec son infidélité
Denise Tantucci, Tre piani (Nanni Moretti) : Le concept de métamorphose inachevée, comme si les personnages faisaient un long voyage pour découvrir qu'ils ne peuvent être qu'eux-mêmes... | Nietzsche : On finit par ne plus vivre que ce que l’on a en soi
Pablo Larraín, Spencer, Kristen Stewart as Princess Diana: You need something very important in film, which is mystery. Kristen can be many things, and she can be very mysterious and very fragile and ultimately very strong as well
Un cinéma des signes, des appels, des jalons. Inclinée sur le suicidaire, c'est la courbe dense d'une nuque de femme | Alain Badiou : Robert Bresson, Le Diable probablement | Tina Irissari, Laetitia Carcano
Robert Bresson : Mon coeur va constamment vers ces garçons et ces filles qui s'interdisent une société fondée scandaleusement sur l'argent et le profit, sur la guerre et la peur
Amanda Knox: As I walked back into the free world, I knew that my doppelgänger was there alongside me. Even most of the strangers who offered kindness and support didn’t truly see me. They loved her
Olga Kurylenko : Terrence Malick me le disait en français : saute comme un lapin ! Il ne veut rien d'immobile. Les choses doivent se transformer en quelque chose d'autre, dans un mouvement constant de transformation, comme une danse
Audrey Hepburn : Holly est tout le contraire de moi. Elle me fait peur. Ce rôle appelle un caractère extraverti. Or moi, je suis introvertie. C'est ce que j'ai fait de mieux, parce que c'est ce qu'il y a eu de plus dur
Stacy Martin, Berlinale 2014, Nymphomaniac : Je n'ai pas eu peur de la sexualité. Le sexe est ce que nous sommes. Je faisais confiance à Lars von Trier
Syberberg : Le Parsifal féminin (Karin Krick) prend en charge sa difficile mission. Il naît une douleur érotique plus grande | Pascal Bonitzer : une jeune fille merveilleuse dont la bouche laisse passer la voix du ténor. Vampirisation réciproque
Pablo Larraín, Jackie: She was an incredibly mysterious person, and I think Natalie Portman has that in her eyes. That’s why I wanted so many close-ups
Pablo Larraín: If there’s no perversion, there’s no beauty | Natalie Portman: A great director always has a little bit of perversion in the way that they see things. I don't mean in a sexual way. He always took us into unexpected directions
Stacy Martin : J’ai beaucoup appris du comportement des Japonais, de l’efficacité de leur self-control. C’est ainsi qu’ils prennent le pouvoir sur leur interlocuteur. J’ai appris à écouter, à me taire, à observer pour mieux comprendre
Gwenaëlle Simon, fille de corsaire | Eric Rohmer : Je prends les acteurs comme ils sont. Je préfère les gestes qui ne veulent rien dire, immédiats : c'est parce qu'ils ne veulent rien dire qu'ils disent davantage
Olivier Assayas / Kristen Stewart : Je ne cherche pas une comédienne qui va interpréter tel rôle, je me dis : qui va pouvoir m'aider à porter ce film-là plus loin, qui a la capacité de m'ouvrir des portes de cinéma ?
Hafsia Herzi, Bonne Mère : L'amour maternel est universel, et les femmes sont des piliers. J'ai voulu faire le portrait de femmes de générations différentes, des femmes fortes, qui n'ont pas peur et qui foncent. Et on a tous foncé
Gérard Depardieu : Besoin de chair fraîche, ça retombe automatiquement sur les femmes. Aujourd'hui, tout le monde rêve d'une vendeuse de Prisunic qui soit une star. Qu'il est long le chemin du projet à la chose
what Isabel wants is to be initiated: even if it means being attracted to darkness | The Portrait of a Lady | Jane Campion / Henry James
David Lynch : On ne sait pas à quel point l'esprit est grand. C'est un lieu magnifique, mais il peut parfois y faire complètement noir. Il faut parfois aller dans différentes directions pour trouver son chemin
Ariane Labed : Se reposer des questions sur les structures narratives. Le cinéma peut tout se permettre, tout inventer, c'est des gens qui le savent (ceux avec qui j'aime travailler), et qui créent des nouvelles formes
Céline Delaugère, model, Eva Engines's CEO and cofounder of Eva Engines | Eva Search | Find the faces you need among a million profiles
Daisy Edgar-Jones: fake it until you make it | Normal People | Audiobooks narrated by Daisy Edgar-Jones
Emma Appleton: Feef Symonds, Traitors: There are no good or bad people, just people making good or bad decisions
Polina Semionova | Caravaggio | Staatsballett Berlin
Nicole Kidman / Isabel Archer: I think I have to begin by getting a general impression of life. I'm not afraid, you know | Jane Campion, Henry James, The Portrait of a Lady
Riley Keough, The Girlfriend Experience: It got me thinking a lot about sex. Like, why is it so controversial? | Marvelously internalized, Riley Keough’s performances rarely seek to solve the slippery, confounding mysteries of her best characters
Paula Beer, Bad Banks : Cette obsession de la norme à laquelle il faut se soumettre. Avec Jana, on voit bien à quel point ça peut aller vite. Une personne qui a ses convictions, remet tout en cause après 2-3 rencontres
Arnaud Malherbe : Marine Vacth est en soi un personnage hors norme, à travers son évanescence naturelle, sa mélancolie, ce trouble qu’elle a dans le regard, la dureté, la solitude, la douleur aussi. Louise de rêve et de cauchemar
Marine Vacth, L'Amant double : un rôle de totale composition. Je ne me projetais pas dans les fantasmes de Chloé - ils ne sont pas les miens. J’ai essayé de travailler des choses dans sa façon de marcher, de se tenir, de cligner des yeux
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