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Heroines in Art, History & Fiction. Actresses
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new (french) / nouveautés | heroine.love
René Girard : Albertine illustre cette loi. Sa passivité animale, son manque d'éducation, font d'elle l'être inaccessible, invulnérable et cruel qui peut seul éveiller le désir | Marcel Proust
Billy Wilder : J’avais la chance de pouvoir prendre Audrey Hepburn. La grande règle est de ne jamais rien prendre que ce qui convient au film
Robert Bresson à Jean-Luc Godard : J’ai pensé à une fille. A la fille perdue. Ou plutôt : à la fille qui se perd
Ariane Mnouchkine : Ce n'est pas parce que vous vous mettrez dans tous vos états que vous aurez un état. Si le diamant n'est pas taillé, on ne voit pas la lumière
Ariane Mnouchkine : L'imagination est un muscle. "Les choses ne sont pas difficiles à faire, ce qui est difficile, c'est de nous mettre en état de les faire", disait Brancusi
Fading. L'être aimé semble se mouvoir au loin dans le brouillard ; non point mort, mais vivant flou, dans la région des Ombres
Les comédiennes | Marcel Proust : Ces gestes instables perpétuellement transformés, c'était le mobile chef-d'oeuvre que l'art théâtral se proposait et que détruirait en voulant le fixer l'attention d'un auditeur trop épris
Brit Marling, passage à l'écriture d'une actrice : Si j'avais été un garçon j'aurais sans doute suivi le simple parcours de l'acteur
Rebecca Hytting & Rachael Osborne | House | Sharon Eyal & Gai Behar
Rebecca Hytting | Love Chapter 2 | Sharon Eyal & Gai Behar
Michel Ciment : Le cinéma de Malick est une exaltation de la femme. C'est singulier dans cette génération de cinéastes américains (Scorsese, Cimino), pour lesquels la femme n'est pas au centre de leurs préoccupations
Aujourd'hui quand une femme agit bien, c'est par une revanche de sa nature instinctive sur sa morale, c'est-à-dire sur son immoralité théorique (voyez le théâtre de MM. Halévy et Meilhac) | Marcel Proust
Louise Chevillotte : Nymphomanie ? Incarner un personnage d'une femme qui a du plaisir, qui accepte son désir, c'est une fierté. C'est tabou, c'est important de le mettre en lumière
Adèle Haenel : cette idée de la joliesse de la jeune fille implique un rapport particulier au pouvoir. On ne peut pas exister que pour le regard des autres
Vimala Pons / Louis Jouvet : tout est suspect sauf le corps et ses sensations. Parfois moi je sais plus où j'en suis, de revenir à des choses simples, ça me calme quoi
Vimala Pons / Dostoïevski : vivre de manières complètement différentes plein d'amours en même temps
Vimala Pons : Le syndrome de la jeune fille, placardé, alors que j'ai l'impression que de grandir, c'est génial : on comprend de plus en plus de choses, et à la fois on comprend de moins en moins
J’ai pensé à des actrices dès le début. C’était le désir de leur offrir des rôles iconoclastes et chercher en elles les garçons sauvages
Caractère floconneux de l'avenir d'Isabelle. Pour James, la vie n'était pas forcément logique et il n'aurait sûrement pas souscrit à l'idée sartrienne que les êtres se confondent avec leurs actes
Nietzsche : Où sont ceux qui comme Brünnhilde, sacrifient leur science à leur amour et finissent pourtant par puiser dans leur vie la science suprême ?
le théâtre fou et solitaire de l’imagination amoureuse | Todd Haynes, Roland Barthes, Carol
le Désir incarné d'Albertine qu'Andrée était pour moi | la matérialisation devant moi de ce qu'elle portait dans sa rêverie amoureuse
Jane Campion : l'excitation de découvrir la vérité des choses et des êtres, et le désir d'être aimée. Deux compagnons difficiles à concilier
C'est le film qui, en naissant, donne vie aux personnages, et non les personnages qui donnent vie au film | Robert Bresson
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