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Heroines in Art, History & Fiction. Actresses
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new (french) / nouveautés | heroine.love
Katherina Ivanovna, plus Dimitri Fiodorovitch Karamazov vous offensait, plus vous l'aimiez. Vous aimez en lui l'héroïsme de votre dévouement aux prises avec son infidélité
Denise Tantucci, Tre piani (Nanni Moretti) : Le concept de métamorphose inachevée, comme si les personnages faisaient un long voyage pour découvrir qu'ils ne peuvent être qu'eux-mêmes... | Nietzsche : On finit par ne plus vivre que ce que l’on a en soi
Un cinéma des signes, des appels, des jalons. Inclinée sur le suicidaire, c'est la courbe dense d'une nuque de femme | Alain Badiou : Robert Bresson, Le Diable probablement | Tina Irissari, Laetitia Carcano
Robert Bresson : Mon coeur va constamment vers ces garçons et ces filles qui s'interdisent une société fondée scandaleusement sur l'argent et le profit, sur la guerre et la peur
Olga Kurylenko : Terrence Malick me le disait en français : saute comme un lapin ! Il ne veut rien d'immobile. Les choses doivent se transformer en quelque chose d'autre, dans un mouvement constant de transformation, comme une danse
Audrey Hepburn : Holly est tout le contraire de moi. Elle me fait peur. Ce rôle appelle un caractère extraverti. Or moi, je suis introvertie. C'est ce que j'ai fait de mieux, parce que c'est ce qu'il y a eu de plus dur
Stacy Martin, Berlinale 2014, Nymphomaniac : Je n'ai pas eu peur de la sexualité. Le sexe est ce que nous sommes. Je faisais confiance à Lars von Trier
Syberberg : Le Parsifal féminin (Karin Krick) prend en charge sa difficile mission. Il naît une douleur érotique plus grande | Pascal Bonitzer : une jeune fille merveilleuse dont la bouche laisse passer la voix du ténor. Vampirisation réciproque
Stacy Martin : J’ai beaucoup appris du comportement des Japonais, de l’efficacité de leur self-control. C’est ainsi qu’ils prennent le pouvoir sur leur interlocuteur. J’ai appris à écouter, à me taire, à observer pour mieux comprendre
Gwenaëlle Simon, fille de corsaire | Eric Rohmer : Je prends les acteurs comme ils sont. Je préfère les gestes qui ne veulent rien dire, immédiats : c'est parce qu'ils ne veulent rien dire qu'ils disent davantage
Olivier Assayas / Kristen Stewart : Je ne cherche pas une comédienne qui va interpréter tel rôle, je me dis : qui va pouvoir m'aider à porter ce film-là plus loin, qui a la capacité de m'ouvrir des portes de cinéma ?
Hafsia Herzi, Bonne Mère : L'amour maternel est universel, et les femmes sont des piliers. J'ai voulu faire le portrait de femmes de générations différentes, des femmes fortes, qui n'ont pas peur et qui foncent. Et on a tous foncé
Gérard Depardieu : Besoin de chair fraîche, ça retombe automatiquement sur les femmes. Aujourd'hui, tout le monde rêve d'une vendeuse de Prisunic qui soit une star. Qu'il est long le chemin du projet à la chose
David Lynch : On ne sait pas à quel point l'esprit est grand. C'est un lieu magnifique, mais il peut parfois y faire complètement noir. Il faut parfois aller dans différentes directions pour trouver son chemin
Ariane Labed : Se reposer des questions sur les structures narratives. Le cinéma peut tout se permettre, tout inventer, c'est des gens qui le savent (ceux avec qui j'aime travailler), et qui créent des nouvelles formes
Paula Beer, Bad Banks : Cette obsession de la norme à laquelle il faut se soumettre. Avec Jana, on voit bien à quel point ça peut aller vite. Une personne qui a ses convictions, remet tout en cause après 2-3 rencontres
Arnaud Malherbe : Marine Vacth est en soi un personnage hors norme, à travers son évanescence naturelle, sa mélancolie, ce trouble qu’elle a dans le regard, la dureté, la solitude, la douleur aussi. Louise de rêve et de cauchemar
Marine Vacth, L'Amant double : un rôle de totale composition. Je ne me projetais pas dans les fantasmes de Chloé - ils ne sont pas les miens. J’ai essayé de travailler des choses dans sa façon de marcher, de se tenir, de cligner des yeux
Kristen Stewart, Personal Shopper : Le film pose la question la plus terrifiante dans la vie, selon moi : est-ce que je suis complètement seule ou est-ce que je peux entrer en contact avec quelqu’un ?
John Cassavetes : toute femme qui aime son mari et qui est mariée depuis un certain temps ne sait pas où investir ses émotions et cela peut la conduire à la folie
Marguerite Yourcenar : La vie des femmes est trop limitée, ou trop secrète. Qu'une femme se raconte, et le premier reproche qu'on lui fera est de n'être plus femme
Marguerite Yourcenar : Tout être qui a vécu l'aventure humaine est moi
Jennifer Connelly : Je reviens souvent aux livres de Virginia Woolf, pour construire mes personnages. Mais ce qui me nourrit le plus, ce sont les rues de New York. Elles sont imprévisibles
Jeanne Moreau : On ne sait pas très bien qui on est. La personnalité d'un être humain est la chose la plus mystérieuse au monde. Cette recherche dans les abysses. Plus on dit des choses sur soi, justes, vraies, plus le mystère s'épaissit
Antonioni, L'adieu aux femmes. Il souffre d'avoir à se séparer du regard subjectif, irrationnel, obscur et féérique, sarcastique et hyperbolique
Alfred Hitchcock : Les femmes sont comme le suspense... Plus elles éveillent l'imagination, plus elles suscitent de l'émotion | Un autre monde à l'intérieur : la femme symboliste dans l'oeuvre d'Alfred Hitchcock
s'approcha et sans mot dire, lui posa un baiser | Parsifal / Les frères Karamazov
Lettre du personnage à l'acteur : Les choses ne sont pas ce que tu penses. Nous avons chacun notre propre atmosphère. Approche-toi de moi | Louis Jouvet
maintenant, je vais chez Grouchenka
Terrence Malick : nous perdons peu à peu nos espaces ouverts. La terre vierge, l’endroit où tout semble possible
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