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Heroines in Art, History & Fiction. Actresses
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new (30) | heroine.love
Kristen Stewart, Personal Shopper : Le film pose la question la plus terrifiante dans la vie, selon moi : est-ce que je suis complètement seule ou est-ce que je peux entrer en contact avec quelqu’un ?
David Lynch / Terrence Malick: Garden of Eden / Promised Land, and the Fall of... | Mulholland Drive / To The Wonder | Could be someone's missing maybe / There's something missing
Stacy Martin: there’s always more outside, there’s always something else to discover, and there’s always another culture. You have no structure, you’re not creating anything. So you have to find your life again
John Cassavetes : toute femme qui aime son mari et qui est mariée depuis un certain temps ne sait pas où investir ses émotions et cela peut la conduire à la folie
Qin Lan: What’s it to you if I use my uterus or not? | 秦岚: 我的子宫使不使用, 关你什么事?
Marguerite Yourcenar : La vie des femmes est trop limitée, ou trop secrète. Qu'une femme se raconte, et le premier reproche qu'on lui fera est de n'être plus femme
Marguerite Yourcenar : Tout être qui a vécu l'aventure humaine est moi
Jennifer Connelly : Je reviens souvent aux livres de Virginia Woolf, pour construire mes personnages. Mais ce qui me nourrit le plus, ce sont les rues de New York. Elles sont imprévisibles
Jeanne Moreau : On ne sait pas très bien qui on est. La personnalité d'un être humain est la chose la plus mystérieuse au monde. Cette recherche dans les abysses. Plus on dit des choses sur soi, justes, vraies, plus le mystère s'épaissit
Antonioni, L'adieu aux femmes. Il souffre d'avoir à se séparer du regard subjectif, irrationnel, obscur et féérique, sarcastique et hyperbolique
Alfred Hitchcock : Les femmes sont comme le suspense... Plus elles éveillent l'imagination, plus elles suscitent de l'émotion | Un autre monde à l'intérieur : la femme symboliste dans l'oeuvre d'Alfred Hitchcock
s'approcha et sans mot dire, lui posa un baiser | Parsifal / Les frères Karamazov
Lettre du personnage à l'acteur : Les choses ne sont pas ce que tu penses. Nous avons chacun notre propre atmosphère. Approche-toi de moi | Louis Jouvet
Taylor Swift: how to... de-program the misogyny in my own brain. There is no such thing as a slut, as a bitch. We don't want to be condemned for being multi-faceted
Emily Blunt: Write me as a guy, and I’ll do the girl stuff. Just write me as you would a guy: as complicated, as conflicted, as at-fault
Rooney Mara: ‘the girlfriend’ or whatever. There was no real person behind most of those characters
Marieke Lucas Rijneveld: I am an in-between person. I feel like a boy and a girl | The Discomfort of Evening, narrated by Genevieve Gaunt | Winner of the International Booker Prize
Joan: If someone asked me to describe myself in a single word, depraved is the one I would use. Survivor is the second word | Animal by Lisa Taddeo, narrated by Emma Roberts
Ada Hegerberg: The one thing I would say to any girl is this: You can’t lose your fire. You can’t let anybody take your fire away from you
maintenant, je vais chez Grouchenka
Terrence Malick : nous perdons peu à peu nos espaces ouverts. La terre vierge, l’endroit où tout semble possible
René Girard : Albertine illustre cette loi. Sa passivité animale, son manque d'éducation, font d'elle l'être inaccessible, invulnérable et cruel qui peut seul éveiller le désir | Marcel Proust
Richard Brody, Song to Song: a vast mental space that’s defined by the film’s mosaic-like editing. (No other recent film has as intricate and original an editing scheme.) | Terrence Malick
Natalie Portman: She's in great need, this guy comes along as sort of a savior in a way and then introduces her to a lot of darkness | Terrence Malick
Rooney Mara (Faye): I know you always want to know the truth, but... but I don't. Sometimes the truth isn't the right thing to say | Terrence Malick
Billy Wilder : J’avais la chance de pouvoir prendre Audrey Hepburn. La grande règle est de ne jamais rien prendre que ce qui convient au film
Virginia Woolf: Those who fall foul of George Eliot do so on account of her heroines | one of the few English novels written for grown-up people | Juliet Aubrey reads 'Middlemarch'
Robert Bresson à Jean-Luc Godard : J’ai pensé à une fille. A la fille perdue. Ou plutôt : à la fille qui se perd
Ariane Mnouchkine : Ce n'est pas parce que vous vous mettrez dans tous vos états que vous aurez un état. Si le diamant n'est pas taillé, on ne voit pas la lumière
Ariane Mnouchkine : L'imagination est un muscle. "Les choses ne sont pas difficiles à faire, ce qui est difficile, c'est de nous mettre en état de les faire", disait Brancusi
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